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| bloc-notes #14 |
| Mercredi 15 Avril 2011 - Textes et légendes des photos : Gérard Vandystadt (photojournaliste). Texte et présentation de l'Association PAJ, Daniel Castets (photographe) - © Reportages et photos : Gérard Vandystadt / Agence Regards du Sport-vandystadt.com - Mario Fourmy, Thierry Secretan, Antoine Devouard, Gérard Vandystadt, Alain Nogès, Eric Bouvet / Photos extraites du site de l'Association PAJ Photographes Auteurs Journalistes Avril 2011 - Alexandre Vandystadt / Agence Regards du Sport-vandystadt.com - Caroline Vandystadt / Agence Regards du Sport-vandystadt.com - Collaborations techniques Christian Petit, Alexandre Vandystadt, Caroline Vandystadt, Lydia Kopytto, Kelly G. - Remerciements à Daniel Castets pour sa chronique La Grenouille d'Avril 2011. Remerciements à F. et V. à Toulouse et à R. à Perpignan.
PAJ : La nouvelle association des photographes professionnels Fatigués de l’apathie générale, et de l’hibernation des syndicats de journalistes. Révoltés par les pouvoirs publics qui leur savonnent la planche. Ruinés par la majorité des patrons de presse qui massacrent leur profession, les six mousquetaires viennent de se constituer en association (DC).
Photographes Auteurs Journalistes Mario Fourmy - Président1980-1985 Intègre l’ECPA comme EVSP et rentre comme photographe au SIRPA (Service d’Information et de Relations Publiques des Armées) pour les magazines TAM (Terre, Air, Mer) et Armées d’Aujourd’hui.
Thierry Secretan - Secrétaire généralPhotographe et cinéaste, a rejoint Gamma en 1979 et contribue au lancement du magazine Actuel.
Antoine Devouard - TrésorierStatut d’Auteur indépendant – BNC/AGESSA.
Gérard Vandystadt - Membre fondateurDirecteur fondateur (1977-2004) de l’agence de presse photographique Vandystadt + Vandystadt-Allsport France en 1983 (1ère agence de presse sportive française). A couvert 11 Jeux Olympiques, etc…(1er prix du World Press Photo-Sport 89). Depuis 2005, photographe et directeur à Paris de l’agence photographique : Regards du Sport-Vandystadt.com (en savoir plus...)
Alain Noguès - Membre fondateurReporters Associés, Gamma, et a été cofondateur de l’agence Sygma (13 mai 1973) devenue Corbis Sygma depuis son rachat par Bill Gates en 1999.
Éric Bouvet - Membre fondateur2007-2010 : Reporter Photographe indépendant avec VIINetwork2009-2010 : Parrain et Intervenant à l’EMI-CFD 2004-2010 : Maître de stage à Arles 1990-2006 : Reporter photographe indépendant 1983-1990 : Reporter photographe à l’agence Gamma (en savoir plus...)
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Le Dîner de cons... de la photographie : Le buzz photo d'Avril 2011 L'intégral est ici dans La Grenouille !
Le Dîner de cons... Le buzz des photographes d'Avril 2011 (suite...) Pour ne pas rester sur notre faim "partageons et échangeons" encore une suite de desserts entre nous !
Mais la presse, l'édition, la publicité (française y compris), ne sont pas à exempter de très sérieux reproches, ainsi bien sûr que de nombreuses manifestations et événements photographiques, certains festivals photo, certaines expositions... Maintenant, et ils sont de plus en plus nombreux, il y a en France (aussi), les petits malins qui stimulent à fond les rêves de milliers de possibles nouveaux pigeons "photographes" de toutes sortes, amateurs, débutants, semi-pros, pros etc... en leur faisant entrevoir un avenir fait de reconnaissance, de notoriété, de gloire, d'avantages... devenez reporter (l'ego, ça marche toujours). C'est d'autant plus bidon que justement aujourd'hui les vrais pros, et ce parmi même les plus confirmés et ils sont très nombreux... crèvent la dalle par milliers en se cachant, en se taisant, ne sachant plus quoi faire pour vivre de leur métier, de leur art et de leur savoir-faire photographique. Auteurs photographes et photojournalistes oui... mais travailler pour qui, pour quoi et surtout comment (...), sans rémunérations suffisantes pour créer et produire à nouveau... et ce, après des publications trop souvent très mal payées dans la presse, après une belle exposition, ou une intervention... gratuite (projection photo + conférence par ex.). Temps de voyage, présence de deux jours sur place, conférence dans un local... commercial (Fnac... sponsor du Festival MAP 11), comme me l'ont proposé récemment sans vergogne les organisateurs de MAP 11 Festival de la Photographie de Toulouse... Glorieux moments (!?), non, mais en prime, un travail non payé. "... nous ne rémunérons pas l’intervention des photographes et gens d’image" m'a-t-il été précisé par écrit, signé d'un certain Jean-Stéphane Cantero, sans gêne aucune par le joyeux drille. Quelle terrible et misérable phrase pour tous les photographes et pour l'ensemble du monde de la photographie !
Partages, échanges... (il ne faut pas tout confondre), taratata, verbiages et discours de communicants mais aussi de politiques, lire les textes des élites et des organisateurs toulousains sur le site de Map 11 Toulouse, comme exemple. Business + Baratin exemplaire de mieux en mieux adapté aux engouements de la population... les gogos potentiels. Le tout étant de faire venir les touristes pour les uns, et pour les autres, organisateurs d'un Festival public et boîte de com privée confondus, de gagner du fric sans scrupules sur le dos des auteurs photographes et de leurs droits légitimes (et pour les sponsors de faire leur promo, sans se soucier parfois du reste). L'enfer est souvent pavé de soi-disant bonnes intentions et de quelques mots et phrases clés empruntés aux modes du moment. Les malheureux Jean-Stéphane Cantero et Pierre Garrigues (associés), organisateurs du Festival de la Photographie de Toulouse "MAP 11" ne sont qu'un (mauvais) épiphénomène et l'une des conséquences d'un problème qui nous dépasse tous pour l'instant : la destruction large, rapide et systématique des métiers photographiques (entre autres métiers), et cela dû principalement à l'arrivée d'internet avec le bon et le... mauvais, avec aussi l'invention du mot magique (qui excuserait toutes les c...) "la mondialisation" (moi je dis, américanisation forcée du monde et des... esprits), société du tout pognon, du bidon, du clinquant, du faux, de l'égoïsme de la communication dévoyée et donc d'une certaine amoralité généralisée au nom du veau d'or... le fric.
Pour - nous tous - photographes, dire NON au gratos devient un devoir de salubrité publique et notre meilleure, sinon seule arme avec l'invention et la création, en plus de celle bien sûr, de ne plus avoir peur de stigmatiser ouvertement les bidonnages et les exploiteurs de tous poils... de notre travail. Le maître-mot à répéter et à enseigner inlassablement aux photographes (quels qu'ils soient) est de toute façon celui-ci : faites-vous payer de tous vos travaux, talents et métiers, sinon vous ne survivrez pas aujourd'hui en... photographie, ni ailleurs ! - Bien entendu, je n'ai jamais reçu de réponse de ce Jean-Stéphane Cantero (Directeur associé d'un Festival public et d'une... boîte de com privée) à mon mail du 24 février 2011... D'autres photographes et pigeons potentiels gratuits ont dû être "invités" aussi sec à Toulouse ! C'est ça aussi le truc... et si ça marche encore... jusqu'à quand ? Que nous soyons tous morts ! (...).
2 - Extrait d'une lettre réponse rédigée à une correspondante de Toulouse (suite à La Grenouille d'Avril de Daniel Castets)
Oh... que oui, mais c'est peut-être normal et excusable. L'âge, donc l'expérience, ça compte beaucoup (personnellement, je suis photographe de presse depuis 37 ans, en agences de presse). Pour ce qui est de la vente des photographies, j'ai travaillé comme photographe et collaboré (aussi en qualité de dirigeant) avec 3 agence de Presse. Je connais donc bien les expériences, heureuses et malheureuses vécues par des... centaines de photographes, ceci outre mes relations instructives permanentes avec tellement de gens dans la photographie ! J'ai aussi exposé des dizaines de fois partout et dans toutes sortes de configurations... (belles ou non, riches ou pauvres, gratuites ou payantes).
Les avions, les hôtels, les tirages d'expo en cadeaux... foutaises et leurre grossier. Pour les pros (et les bons amateurs du reportage), l'avion, l'hôtel... c'est comme le métro un transport, ce n'est pas un départ en vacances ! L'hôtel n'est lui, le plus souvent, qu'un mal nécessaire et une habitude du métier... J'ai fait le tour du monde 25 fois (...), j'ai payé mes voyages et dormi plus souvent à l'hôtel que chez moi ! Alors ce n'est pas un avion et un hôtel offerts pour "mon travail" à la place d'une rémunération... qui me font rêver et vivre et surtout réinvestir dans mes prochains reportages, je travaille moi aussi pour financer mes futurs déplacements et photo-reportages... Bref, ces deux-là sont des "mauvais", comme l'on dit fort bien entre photographes. Et aussi, qui se ressemble s'assemble, ça c'est toujours vérifiable. Moi je n'ai jamais fréquenté de rigolos très longtemps (et surtout pas 3 ans...de suite), je prends la fuite avant. Ça m'évite d'être embarqué dans je ne sais quoi... "à l'insu de mon plein gré" comme l'on dit parfois en souriant dans le sport... Pas de temps à perdre avec des marioles, selon l'expression de ma mère dans le Midi (Sète), où l'on use d'un vocabulaire franc et direct ! Après, les amateurs font ce qu'ils veulent et... peuvent, mais il faut surtout en fait les prévenir, les aider, pour qu'ils apprennent à éviter très tôt les farces et attrape-nigauds du métier. Ça fait gagner du temps. Une vraie bonne carrière de photographe (amateur ou pro) c'est très long et très difficile, ils doivent savoir ne pas se faire... avoir par les nombreux communicants de bazars photographiques. Ah, au fait les tirages photographiques d'expo(s) ! On me les a toujours donnés volontiers après mes expos (bien obligé, c'est ça ou la poubelle, sinon c'est un vol d’œuvres et des... droits d'auteurs qui vont avec), donc j'en ai vraiment plein de très beaux dans ma cave. Si vous voulez m'en acheter (ma grand-mère s'en fout et mes voisins ont... leurs chats à nourrir chaque jour) ?
Par ailleurs, le prétexte de la visite gratuite pour le public est toujours la même grosse ficelle en vogue pour s'excuser ne pas payer les exposants ! Partout le public (vous et moi compris) paye ses divertissements. D'ailleurs il n'est en général pas contre de consacrer, quelques € à deux ou en famille... quand on lui offre de bonnes choses comme il se fait pour tout le reste... Cafés, musées, cinémas, tartes aux fraises, essence pour les vacances... etc. On attire et fait venir 80.000 personnes à Toulouse (chiffres MAP 2010), pour un Festival de photographie où les photographes (amateurs et pros) ne sont pas rémunérés. Ensuite et de fait on "invite" aussi ce public à visiter les rues commerçantes de Toulouse... non ? A qui profite au final la manne touristique qui découle de ces nombreux visiteurs et consommateurs de circonstance à Toulouse. Réponse évidente, à presque tout le monde, sauf évidemment aux photographes, sans lesquels pourtant ce Festival n'aurait pas lieu ! Je répète..., venir à Toulouse (ou ailleurs) dans ces conditions de non-rémunération, pour un photographe c'est tout simplement, une invitation à "partager" un Dîner de cons... photographique ! Le gratuit c'est c... dans 99,99% des cas et surtout improductif pour les photographes. Il ne reste que la gloriole, mais celle ci est bien souvent inutile pour exister en photographie ! Des photographes connus et reconnus (...), il y en a plein les "cimetières" de la photographie en ce moment. Alors, un peu moins candide ? Je vous le souhaite vraiment. Votre rencontre prévue avec des charlots bavards, commerçants et "communicants"...? N'oubliez jamais "Le Corbeau et le Renard" avant d'accepter d'exposer et de travailler gratuitement ! Jean de la Fontaine (1621-1695) Le Corbeau et le Renard Ça c'était déjà une belle image du "partage et de l'échange"... (idée très améliorée par certains renards aujourd'hui...!). (...) Gérard Vandystadt
3 - Extrait d'une lettre réponse rédigée à une correspondante de Toulouse (suite à La Grenouille d'Avril de Daniel Castets)
C'est gentil, merci à vous. Je reprends ici, et encore au vol, vos propres propos ci-dessus... Car c'est bien là en effet, que se trouve le dilemme, et ce par quoi beaucoup des problèmes de la photographie vécus par les auteurs photographes et photojournalistes indépendants nous arrivent depuis plus de 10 ans déjà et... de plus en plus gravement. Trop souvent, personne ne dit rien à personne, un grand silence général est de rigueur partout (surtout de la part de l’État et des médias grand public, mais aussi souvent de la part de la presse spécialisée...), et par conséquent beaucoup exploitent les non-dits, les ignorances évidentes de certains photographes (amateurs compris) et du grand public en général et cela bien évidemment pour continuer impunément à faire tourner de plus en plus vite leurs petites et/ou très grosses affaires... encore une fois sur le dos des photographes amateurs et/ou pros sans même le plus souvent respecter la simple légalité... code du commerce, droits d'auteurs etc. Lu ce jour (extraits de textes, avec mes commentaires en gras) sur la page d'accueil du site de MAP 11 Festival de la Photographie de Toulouse. Festival à venir du 1er au 31 Mai 2011. Sur ce site, les "communicants" y vont à fond la caisse..."Ça crée du lien social"... Sinon il n'y en a pas ? Ben voyons. Exemples :"une ambiance toujours populaire et accessible","Les Toulousains ont ainsi l’occasion de découvrir gratuitement les œuvres des grands noms de l’image" (gratuit, pourquoi donc ?) "La photographie devient ainsi prétexte à la discussion et à l’échange". (My God... c'est beau !)"...une nouvelle génération talentueuse et inventive, un véritable vivier toulousain que nous voulons accompagner et faire connaître au-delà du territoire" Signé Pierre Cohen, Député-maire de Toulouse. Et aussi cela pour le côté "rêve" des choses :"Tous photographes ! Les technologies numériques ont donné une visibilité nouvelle aux photographes amateurs. Ils s’affichent sur les sites communautaires, les blogs, les albums électroniques… Quelques-uns ont même le bonheur de voir leurs images publiées par des magazines de renom","Malgré un contexte très concurrentiel, certains seront peut-être demain des professionnels reconnus". (surtout gratuit "aujourd'hui" à Toulouse et payés de leurs droits d'auteurs... demain ?)"La Région s’associe avec bonheur à cette manifestation dont elle partage les valeurs". Signé : Martin Malvy, ancien ministre, Président de la Région Midi-Pyrénées.
Tout ce qui est en gras ci-dessus sont mes commentaires au milieu des extraits et citations des textes originaux. En rouge, c'est le meilleur du SUPER BIDON, hypocrite, nul !
De prestigieux et riches sponsors et partenaires... régionaux, nationaux et internationaux (sociétés commerciales privées), des organismes institutionnels régionaux, nationaux et internationaux (avec l'Ambassade des USA...!) pour accueillir 200.000 visiteurs... non payants (chiffres Visa pour L'Image 2010) et... 0,00 € de budget à l'arrivée pour payer des droits d'auteurs aux "heureux (?) photographes, auteurs, photojournalistes" exposés des quelques 25/30 expositions réalisées chaque année depuis 22 ans à Perpignan, grâce à leurs travaux photo, talents et œuvres ! Où est l'erreur du truc ?
V..., tout ceci se trouve en lisant et en décryptant tout simplement la page d'accueil de MAP 11 Festival de la Photographie de Toulouse (du 1er au 31 Mai 2011). Ça fait peur ! Au mieux ça fait rire au larmes. Les politiques y font "leurs campagnes électorales" comme ils le font tous, le soir à la télé... Ils font aussi la pub de la Ville (normal.. sur le dos des photographes, c'est gratuit) et flattent l'électorat... populaire en récupérant tout et n'importe quoi au passage : les grands noms de l'image, les amateurs de photos, une nouvelle génération talentueuse et inventive, les sites communautaires, les blogs, les albums électroniques… Ils n'y sont pour rien dans tout ça, mais ça y va la DÉMAGOGIE... et à fond ! Ce qui n'est pas ici "des mots de politiques" sont les mots des organisateurs eux-mêmes Garrigues et Cantero. De la bouillie de communication pré-mâchée, basique, "vulgaire" et malheureusement très facile à croire et à... digérer dans le cas présent par des gens, jeunes en général et sympas, les photographes. Bien naïfs, s'ils se laissent prendre au truc. Pendant ce temps-là, les affaires continuent ailleurs... et à l'Agence MAP Communication à Toulouse. Je suis toujours étonné et fatigué, voire gêné pour ceux qui écrivent... et lâchent sans complexe tous ces mots et expressions, parfaitement habituels et "préconçus", que l'on retrouve d'ailleurs partout. Du copier-coller, qui sonne faux, insincère et si peu humain (une machine programmée ferait la même chose). De la com à la mode, rien que de la com... minable ! Ce ne serait que bête et simplement mauvais si par ailleurs tout cela ne contribuait pas à leurrer consciemment le public, et à détruire un peu plus tous les vrais métiers de la photographie... Vous avez remarqué aussi qu'aujourd'hui... tout le monde "chante" à la radio, à la télé... dans des Festivals, et si mal parfois... donc pas très longtemps non plus. A qui cela fait-il vraiment plaisir ? Au public (ça dépend de son oreille et de sa culture musicale...), aux chanteuses et chanteurs certes, à leurs familles et amis, mais à qui ça rapporte vraiment, même si beaucoup de ces chanteurs n'ont pas de talent et d'avenir ? Aux producteurs, aux organisateurs bien sûr, mais aussi aux radios et télés. Les "artistes" eux, ne sont pas souvent payés, mais les "diffuseurs" radios télés se réservent la pub qui finance et fait marcher (comme en photographie) le système et de fait, il leur reste assez d'argent à ces diffuseurs, non !? Pourtant celui-ci n'est pas généralement destiné aux "artistes", qui doivent pour leur part se débrouiller ailleurs pour vivre... Alors, s'ils n'ont pas un vrai talent, ils dégagent vite... et toujours pauvres. Les bidonnages, les faux rêves entretenus par des petits malins, ça laisse aussi parfois de tristes et mauvaises traces... chez les "jeunes artistes et victimes, consentantes, averties ou non". Ça aussi c'est "gratos" pour eux. Et les photographes pros en savent tous quelque chose... De très riches sponsors et partenaires se bousculent sur l'immense affiche de l'entrée du Palais des Congrès de Perpignan (2010). Il y a même (...) la multinationale américaine Getty Images (USA), l'un des premiers et principaux "fossoyeurs" de nos métiers de photographes auteurs et du photojournalisme français européen et mondial... depuis 1998. Pour d'autres explications, il faut poser directement la question de cette présence incongrue ici (scandaleuse selon moi) à l'organisateur de Visa pour l'Image, le Français Jean-François Leroy ! Il doit y avoir un truc que je n'ai pas encore bien compris (!?) avec ce "magicien", adepte (annuellement, vers septembre) de grands mots et autres prétentions à défendre le photojournalisme... tout en copinant sans gêne apparente avec l'une des boîtes d'outre-atlantique qui "flinguent" grave et à grande échelle les photographes ! Dumping à tout va, non-respect (en France) des barèmes et tarifs photo français (UPP par exemple), propriétaire et diffuseur (elle aussi) de multi-microstocks à très bas prix etc... etc...
En ce qui concerne les "politiques" et "organisateurs" et leur amour soudain pour la photographie, un vrai coup de foudre NATIONAL d'ailleurs, car c'est apparemment partout un délire fou et contagieux pour l'image, que nous vivons dans l'hexagone (!). Svp, si jamais tout cela était si "vrai"... n'hésitez pas, même localement, à leur communiquer mon adresse mail ! J'abrite 3 millions de diapositives (30 ans de photographie sportive de très haut niveau ), qui malheureusement dorment depuis 7 ans dans un local spécialement loué, et... payé par mes propres et seuls soins 1200€ mensuels, pour en assurer la préservation. Aucun "politique", ministre des sports ou de la culture successifs, pas plus que de riches sponsors de la photographie ou même de "très riches" sponsors du monde sportif ou autres qui tous "aiment" tant et tant la photo et le sport... et le sport et la photo (...), ne m'ont encore passé le moindre coup de fil pour m'aider à financer cette préservation vitale, et pensé même à m'aider à faire "vivre" ce patrimoine photographique et sportif, unique en France (1977-2004) ! Pas de problème... pas de nouvelles... et pourtant ils connaissent tous le "célèbre" photographe (et auteur de nombreuses expositions... gratuites dont Perpignan Visa pour l'Image) et beaucoup connaissent très bien aussi l'histoire de l'Agence de presse Vandystadt... depuis très longtemps. Depuis que j'ai publié ma première photo (payée) dans la presse, à 16 ans... j'entends les politiques parler de l'avenir et surtout de "celui de nos enfants". Idem de la part de commerçants petits ou gros. : "On débute (...), vous nous aidez (avec vos photos) aujourd'hui, et demain on va tous gagner ensemble...". Problème pour nous tous... gogos un jour ou l'autre de politiciens et "businessmen" aux discours plus ou moins foireux, c'est chaque jour qu'il faut exister, manger, créer, continuer à produire, à innover, à photographier... Chère V..., merci pour votre rapide présentation et mes félicitations pour vos deux ados, c'est génial ! Je le sais bien, car avec ma femme, nous avons nous-mêmes cinq enfants, filles et garçons ! (Et donc, vous voyez bien vous-même tous les jours, que pour eux aussi, notre travail ne peut et ne doit pas être gratuit... !). Actuellement "l'avenir de nos enfants", expression préférée de nos " vieux et jeunes politiques", c'est un peu beaucoup le chômage... non ? (...).
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- La page d'accueil du site Visa pour l'Image 2011 (Perpignan)
Alexandre Vandystadt, 1er Prix Sport des Photographies de l'année 2011.
Il vient de remporter la catégorie sport des Photographies de l'année de l'APPPF, à tout juste 25 ans ! Avec cette photo de judo réalisée lors de la 36e édition du Tournoi de Judo - Paris Ile-de-France (Grand Chelem) au Palais Omnisports de Paris Bercy (7 février 2010). Les photographies gagnantes seront réunies dans une exposition itinérante qui sillonnera la France. Dans un premier temps chez les partenaires, ensuite dans les plus grands festivals en France et en Europe. Retrouvez également les lauréats des 16 catégories dans le livre des Photographies de l'année 2011. Le Blog de l'organisateur - Pascal Quittemelle
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